jeudi 1 octobre 2009

FREDERIC GRACIA
b i o g r a p h i e & e x p é r i e n c e s a r t i s t i q u e s . . .

AN 2000 : EXPOSITION au SIEGE DES NATIONS UNIES à NEW-YORK

An 2000 oblige, le plus grand concours de peinture jamais organisé regroupant 51 pays, 22 000 artistes The Winsor & Newton Worldwide Millenium Painting Competition , sélectionne Frédéric Gracia comme l'un des cinq lauréats représentant la France .




Cette importante et unique manifestation représentant l'Art Pictural en l' An 2000 à un échelle planétaire, fut parrainée par son Altesse Royale Le Prince de Galles, clôturée à New York par Kofi Annan, Secrétaire Général des Nations Unies.

Durant cette année 2000 les oeuvres sélectionnées sont révélées au public en des lieux prestigieux : Le Palais St James et les Galeries Mall à Londres, le World Trade Center de Stockolm, et le Palais des Nations Unies à New York .
Un livre : L'édition d'un livre ( au profit de l' UNICEF, intitulé The United Nations Millenium Art Exibition : Our world in the year 2000, préfacé par le Prince Charles et Kofi Annan ) ainsi qu'un site internet : www.ourworldin2000.com contribuent aujourd'hui encore au succès international de cette exposition .


















P r i x


- 1991 : Premier prix au Concours Départemental des Hauts de Seine.
- 1993 : Lauréat au concours National Lefranc& Bourgeois
- 1994 : Diplôme d'Honnneur au Salon de Clamart -
- 1995 : Médaille d'Argent au 25 ième Concours International de Lutèce
- 1999 : Lauréat français au Concours Mondial du Millenium Winsor & Newton
- 1999 : Médaille de la Ville du Plessis Robinson
- 2004 : 1er prix Concours International de Lavardin " Peindre la Musique "
- 2005 : diplôme d'honneur au Salon de Fontenay-aux-Roses















Autres expositions


Institut Océanographique de Paris
Exposition Saphir.
Le Manège , Saint Germain en Lay
Japan Air Lines
Champs Elysées . Paris
Galerie d'Orly Aéroports de Paris
Salon des Artistes Français
Salon d' Igny ( invité d'Honneur )
Galeries Artitude . Galerie Paradis
Mairies de Paris: 9ème, 13ème, 3ème
Mairie de Châtillon ( 92 )
Espace Maison Blanche . Châtillon ( 92 )
Centre Jacques Prévert . Châtillon ( 92 )
Mairie du Plessis Robinson ( expo permanente de D'Artagnan. Salle du Conseil )
Le Moulin Fidel . Robinson
FNAC Les Halles - Paris
Salons Vianey . Paris ( expo permanente )
Galerie du Château . Pau (64)
Galerie Leitner . Paris
Cineaqua . aquarium du Trocadero
Château de Ferrière (77) invité d'honneur
Mairie de Tulles (19)













Repères

1986 Scénographie pour Chick Coréa à Hong Kong

1990 Scénographies sur le paquebot Mermoz ( Croisières Paquet )

1991 Réalisation du Verseau ( visuel de J-M Pierret ) sur aéroréfrigérant . Panoramique fluo Hôtel Ramada Inn, New York

1992 Panoramiques et tableaux pour les hôtels Anchorage, Guadeloupe . 1er prix de peinture des Hauts de Seine

1993 Réalisation du visuel Ariane 5 sur la Tour Eiffel ( 3600 m2 )

1994 Trompe l'œil pour Technotech Industries à Hong Kong . Châteaux d'eau de Chilly Mazarin ( 91 ) et Plaisir (78)

1995 Enluminures de la coupole d'une mosquée au Turkménistan . Trompe-l'œil extérieur à Châtillon (92)

1996 Panoramiques pour l'hôtel Le Méridien ( San Diego.USA )

1997 Trompe l'œil et décoration pour le restaurant Ladurée. Paris

1999 Lauréat français au concours mondial du Millennium Winsor & Newton . Invité d'Honneur au Salon d'Igny (91)

2000 Exposition à l'Institut Océanographique . Paris . Exposition au Palais des Nations Unies à New York.
Direction artistique pour Strasbourg 2000. C. Feff (14 fresques)

2001 Tableau de D'Artagnan pour la Mairie du Plessis Robinson (92) . Médaille de la Ville du Plessis Robinson

2002 Panoramiques orientalistes pour les Salons Vianey. Paris . Trompe l'œil extérieur à Neuilly (92)

2003 Exposition au Centre Jaques Prévert . Châtillon (92) . création du site www.art-gracia.com

2004 Exposition Galerie Les Cimaises Aéroports de Paris . Orly
1er prix Concours International de Lavardin " Peindre la Musique "

2005 Fresque pour la Base Aérienne 110 de Creil (60)
Fresque trompe l'oeil pour le Casino de Perros Guirec . Mur peint pour la Ville de Fontenay-aux-Roses (92)


2006 2ème mur peint pour la Ville de Fontenay-aux-Roses (92) . Mur peint pour la Ville de Montereau Fault-Yonne (77) .
Galerie du Château à Pau (64). Disney-Studio "Le Monde de Nemo". Fresque Casino de Perros Guirec (Entrée)

2007 Fresques fluos pour le Monde de Nemo Disney-Studio. Invite d'honneur au Château de Ferrière (77)

2008 Exposition à cinéaqua, l'Aquarium du Trocadero

2009 Fresque sur le Château d'eau de Treffiagat (Finistere)


FREDERIC GRACIA : La peinture sur un fil
par Jacques Daimé . Fevrier 2006 . N°387. Chantiers de France

Frédéric Gracia fait partie de la poignée de peintres acrobatiques qui exercent leurs talents dans l'hexagone. Suspendu au bout d'une corde, il peint des trompe-l'oeil ou des fresques géantes qui transfigurent bâtiments, châteaux d'eau, cheminées d'usine ou de centrale nucléaire.

Frédéric Gracia et la peinture acrobatique, c'est l'histoire d'une triple passion : celle de la mer, celle de l'alpinisme et celle de la peinture.
« quand j'étais gamin, je rêvais de rencontrer des grands navigateurs et des guides de haute montagne » confie-t-il. Une véritable fascination pour l'aventure. Le petit Frédéric dévore les bouquins de Bombard, Moitessier, Thor Heyerdahl mais aussi Frison-Roche, Demaison ou Herzog. L'adolescent fait ses premières cordées avec le Club Alpin Français.
Mais une autre surface immaculée que mer et neige l'attire: celle de la toile.
Il entre à l'école sup des Arts Appliqués. « je travaillais des illustrations à l'aérographe. des petits formats.» L'appel du chevalet sera le plus fort. Le déclic ? Un voyage à Hong Kong en 1986. Chick Corea lui commande un décor de scène. De là vient peut-être son goût des grands formats.

La plus grande fresque d'Europe

Rentré en France, ses premières réalisations ne passent pas non plus inaperçues. En 1991, le plasticien Jean-Marie Pierret cherchait « un peintre qui n'a pas peur du vide. » Il lui confie la réalisation d'une des plus grandes fresques d'Europe sur la cheminée de la Centrale nucléaire de Cruas-Meysse, en Ardèche. Un cylindre de 155 mètres de haut évasé à sa base. Avec une équipe de huit guides de haute montagne, Fréderic Gracia y peint le signe du Verseau. Doublement symbolique. Un « signe d'air » pour une tour coiffée de panaches de vapeur. Et un signe d'apaisement à l'approche du nouveau millenaire. Puisqu'on entre dans le signe du Verseau, c'était un message d'espoir destiné aux générations futures en rapport à cette énergie que l'humanité a un peu de mal à gérer, cinq ans après l'accident de Tchernobil.

Robert Hosssein fait appel à lui pour retoucher sur corde une bâche peinte installée sur l'église de la Madeleine à Paris. Frederic Gracia débarrasse Jésus d'une auréole qui turlupinait son mentor.
Daniel Boulogne, le Patron de Pigment 14, une société spécialisée avec laquelle il avait travaillé à Cruas, le rappelle pour réaliser une peinture sur bâche de 200 m de long et qui sera déroulée sur la Tour Eiffel depuis le sommet par une cinquantaine d'alpinistes. Les parisiens découvrent Ariane 5 sur une drôle de rampe de lancement.



Le thème de la mer et la gouttes d'eau

Avec la mer et les nuages hyperréalistes, les gouttes d'eau sont un des thèmes de prédilection de Frédéric Gracia. Des effets de ciel il en a joué sur les cheminées industrielles qu'il a peintes à Meudon près de Paris. Nuages et gouttes d'eau encore sur des cheminées de cinquante mètres de haut à Bagnolet.

Frédéric Gracia qui n'en est pas à sa première goutte, a, au fil des années, adopté ou presque institué cette image comme une quasi-signature, l'incorporant dans la composition de ses fresques murales ou de ses tableaux.
En effet cette représentation symbolique de l'eau a depuis longtemps séduit l'artiste peut-être simplement grâce à ce petit éclat de brillance présent sur le haut de la goutte, ce point blanc qui va donner à lui seul toute l'intensité lumineuse.

Mais décortiquons donc un peu plus cette goutte d'eau; arrêtons-nous, nous aussi, un instant sur cette vision macroscopique, sur cet objet si familier de nos salles-de-bains ou de nos pare-brises; concentrons-nous pour une fois sur sa forme, sa masse, sa lumière à l'instar de ces chercheurs physiciens qui expérimentent en laboratoire, sans état d'âme artistique, sa capacité de résistance, sa déformation à l'impact sur matériau hydrophobe, sa luminosité interne, réfractions, reflets, etc...
Focalisons-nous sur cette magie qui s'opère dans le traitement de ce petit objet rond.

D'abord on peut noter qu'un rapport symétrique ombre/lumière une forme circulaire donnent à sa composition une harmonie et un rendu très graphique. Une sorte de Yin-Yang liquides.

Mais le plus étonnant, peut-être d'avantage que cette fameuse brillance apparente, c'est aussi l'illusion du relief convexe.
C'est la zone d'ombre reportée sous la goutte qui va naturellement la détacher, faire ressortir le volume .
Les dégradés intérieurs entre noir, gris, bleu et blanc vont eux évoquer le phénomène de reflet du ciel et la transparence de l'eau.

L' effet de volume intéressent toujours les peintres du trompe-l'oeil. Ils s'en servent pour doter leurs sujet d'un véritable pouvoir de fascination.

Claude Yvel, un des grands maîtres du trompe-l'oeil, inspirateur de Frédéric Gracia, nous dit : Demandez à quelqu'un : " Au coin de votre rue, près du marchand de journaux, qu'est-ce qu'il y a ? " qui répondra " il y a un banc vert ? ". Les gens ne regardent pas avec plus d'attention un objet photographié qu'ils ne le regarderaient dans la réalité. Mais si on prend la peine de le peindre, l'objet devient fascinant : il passe par une digestion humaine.


Spéléologue plus qu'alpiniste

S'il fait appel à des alpinistes de sa connaissance pour ses plus gros chantiers, Frédéric Gracia préfère travailler seul. Il prépare très soigneusement son matériel : cordes de descente et de secours, descendeurs auto-bloquants, baudrier, sellette, genouillères et casques.
A l'écouter, la peinture acrobatique a plus à voir avec la spéléo qu'avec l'alpinisme. « On ne monte pas, on descend » La discipline est assez physique. En plus de ses brosses et rouleaux, Frédéric Gracia s'alourdit d'un ou plusieurs pots de peinture acrylique.
Très importante la selette quand on passe une journée entière dans les airs : « J'en ai une très confortable, un peu siège de tracteur » et vitale la concentration. « on n'a pas le droit à l'erreur. » Le danger ? Ne plus penser qu'à son pinceau et oublier que l'on est pendu au bout d'une corde.

Etre suspendu dans le vide n'est pas forcément plus risqué que de travailler sur échafaudage, ajoute Frédéric Gracia. Ce n'est pas sans frissons rétrospectifs qu'il évoque les planches vrillées d'un échafaudage de 30 mètres de hauteur mis à sa disposition au Turkmenistan pour peindre les enluminures intérieures de la coupole centrale de la Mosquée de Gukdepé en 1995.

Le peintre n'est pas non plus un grand fana des nacelles motorisées. Il lui est arrivé de voir lors d'une réalisation d'une fresque sur un château d'eau le moteur d'une nacelle suspendue tomber en panne à une extrémité et le second refuser de se mettre en sécurité à l'autre extrémité. Sueurs froides. Pour lui rien ne vaut la corde. Elle permet de se glisser partout.


Les cheminées de Bagnolet


La fixation des points d'accroche pour mousquetons et les minutieuses préparations du support le nettoyage haute-pression, le traitement des parties métalliques et les couches de fond sont oeuvrés par les soins des alpinistes de Alpbat, société spécialisée dans les travaux à grande hauteur. Les cheminées sont enfin prêtes à s'orner de leur parure. La toile apprêtée attend sur le chevalet et le peintre peut préparer ses couleurs , caler ses teintes on dit dans le jargon et quantité suffisante car il y a de la surface...

La technique de cordiste employée par Frédéric Gracia, consistant à se suspendre et travailler sur corde, s'avère totalement adéquate pour ce type de bâtiment. Adapté aussi parfaitement, le thème du visuel.

Les expériences variées et multiples des grandes fresques - comme l'aéroréfrigérant de Cruas, hauteur 155m - ont permis à ce peintre acrobatique d'être parfaitement à l'aise avec le vide, rendant l'exécution de son travail artistique tout à fait exceptionnel.



Maquette en main, jour après jour, guidé par talky-walky et jumelles, aide précieuse pour se positionner le plus précisément possible sur la paroie, l'artiste dépose une à une ses perles d'eau, compose ses chapelets et nuance ses nuages aux emplacements mûrement prévus depuis le sol.



Prendre du recul

Le plus difficile pour un peintre acrobatique, ce n'est pas tellement être accroché à un fil toute la journée, c'est de prendre du recul par rapport à ce qui qu'il est en train de peindre. En général la méthode la plus courante est celle dite du carroyage. c'est à dire la reproduction agrandie de chaque carré de la maquette sur le support quadrillé .

Aussi méticuleux soit-on, quelques détails finissent toujours par prendre la tangente. C'est ici que la question du recul est cruciale. « quand on est sur la paroi on ne voit rien. »
Frédéric Gracia a tout essayé. « jumelles inversées » et bien d'autres choses encore. Rien ne vaut de s'écarter du motif.

Le sourire de l'enfant figurant sur la tour de Cruas lui a donné du fil à retordre. La bouche, justement, était tordue par une espèce de rictus. Pierret, le concepteur de la maquette a dû traverser le Rhône et muni d'une paire de jumelles a pu donner des indications par talkie walkie. « Cela donnait des choses assez amusantes » raconte Frédéric Gracia. Des échanges du style : « bon, continue de descendre sur ta corde... la grosse tâche sombre que tu as au dessus de toi, c'est la narine...




L' I L L U S I O N
d'un réel poétisé Propos recueillis par Michel Monsay . Mag. Panorama



Frédéric Gracia: J'ai très tôt été fasciné par la qualité du travail des surréalistes. j'ai d'abord, enfant, essayé de reproduire les oeuvres de Magritte, puis plus tard celles des hyperrealistes américains ou japonais, notamment, pour leurs effets de chrome. Quand j'ai commencé à peindre à l'âge de 10 ans, c'était le début des années 1970 et le sommet de ce mouvement, dont les toiles donnaient l'impression d'être des photographies.

Mes premiers emplois artistiques ont été illustrateur en studio de création graphique puis décorateur de spectacle. C'est là que j'ai commencé à jouer avec la notion de profondeur sur des grandes surfaces.

Mais ma vocation est vraiment née lors d'un long voyage en Asie en 1986.

A Hong Kong, j'ai commencé à peindre des tee-shirts que je vendais dans la rue. Le succès est tel, et la chance aidant, qu'on me propose de réaliser un décor de concert : celui du jazz-man Chick Corea de passage à Hong Kong ! Cette chance à saisir , ce challenge est aussi un facteur déterminant pour la suite ... Car en réussissant je comprend désormais qu'il est VRAIMENT possible de voyager avec ce métier !

Cette magie du voyage s'est opérée cette fois là me destinant pour plusieurs années à une vie d'artiste voyageur.

Commence alors un périple de déco-globe-trotter qui me conduit finalement en Californie, après bien des bourlingages , y compris au sens propre d'ailleurs, puisque j'oeuvre un temps sur le Mermoz, le célèbre paquebot des Croisières Paquet, employé à bord comme décorateur-scenographe pour les spectacles de soirée. Grande croisière autour du continent sud américain, de Rio à Miami, par le Cap Horn, les Galapagos et le Canal de Panama... Le rêve.

Durant des années, j'ai aimé l'idée d'imprimer mon coup de patte partout à travers le monde.

En quoi consiste votre technique ?

F.G. : Il faut distinguer deux applications totalement différentes : le trompe-l'oeil mural et le trompe-l'oeil de chevalet. Un tableau demande beaucoup de patience, plusieurs semaines, voir plusieurs mois sont nécessaires pour rendre à la perfection tous les petits détails . Il a une histoire. Lorsque je le commence, je n'en connais pas forcément la fin.

En extérieur, ce qui est également très intéressant à réaliser, et c'est ce qui m'anime le plus actuellement, ce sont des oeuvres géantes de plus de 100 mètres de hauteur comme sur la tour de refroidissement de la centrale nucléaire de Cruas, cette oeuvre de J.M Pierret intitulée Le Verseau que j'ai réalisé en 1991 avec neuf alpinistes ou bien sur les châteaux d'eau ou les cheminées industrielles comme à Meudon ou Bagnolet.

Plus la surface est étendue, plus il est facile de tromper l'oeil avec une qualité moindre, car le spectateur sera plus loin pour regarder la peinture . Néanmoins, lorsque je peins sur une paroi, harnaché à une corde ou sur un échafaudage, le manque de recul constitue un véritable problème qu'il faut résoudre en imaginant le rendu ou par une liaison radio avec quelqu'un qui peut voir de loin. A titre indicatif, lorsque je suis sur un tableau, il m'arrive de m'en éloigner toutes les dix minutes pour vérifier que les effets désirés fonctionnent.

Pour une fresque géante, un recul régulier et un suivit permanent aux jumelles sont nécessaires mais le travail est de toute façon préparé, prédigéré en amont par une maquette.


Comment définiriez-vous votre travail ?

F.G.: Le trompe-l'oeil n'est pas une fin en soi. Je m'en sers comme base de travail et j'introduis à l'hyperréalisme de ma peinture, une part de rêve, un côté improbable qui m'éloigne de toute réalité figée. J'ai peint des vues du sol lunaire, d'après des photos de la Nasa, en y intégrant des gouttes d'eau. Cela me permet en plus de l'incongruité de la situation, de jouer sur le contraste des formes, des matières et des symboles.

J'ai découvert, il y a déjà plus de vingt ans la peinture fluo que j'aime utiliser pour accentuer des effets de profondeur ou de lumière pour mon travail sur les ambiances sous-marine par exemple.

Mon travail est en constante évolution, j'explore toutes sortes de directions avec la plus grande originalité en point de mire.